Depuis le 1er janvier 2018, les ménages les plus aisés bénéficiaires d’un logement social sont assujettis à un supplément de loyer de solidarité. Cette augmentation significative de leurs charges locatives risque de les pousser hors du parc social, remettant ainsi en cause la mixité sociale nécessaire à l’équilibre de ces ensembles. Par ailleurs, ces ménages n’ont pas nécessairement des moyens financiers suffisants pour se loger dans le parc privé.
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